Nouveau clou dans le cercueil de l’Ademe
L'étude de l'Ademe mesurant l'impact des éoliennes sur les transactions immobilières fait référence et innerve de nombreux projets. Problème, elle a été manipulée.
L’Eclaireur vous relatait comment les services de l’Etat et EDF-Renouvelables s’entendaient pour permettre à un projet de parc éolien d’émerger sur le plateau des Chambarans, aux confins de l’Isère et de la Drôme. Comment l’impact de telles installations sur la biodiversité a été délibérément minimisé, comme l’a révélé la commission d’enquête qui a passé le projet à la moulinette.
En Isère, l'enquête qui plombe les éoliennes
C’est un écueil majeur dans le développement de l’éolien. Et il est d’autant plus minimisé qu’il remet en question la façade « écologique », au sens premier du terme, celui des relations des êtres vivants avec leur environnement, de cette source d’énergie.
Ce n’est pas le seul. Dans cet article, nous revenons sur l’impact des éoliennes sur les transactions immobilières. Là aussi, il est drôle de voir à quelles contorsions les promoteurs des éoliennes se sont livrés, bien aidés par l’Etat, via son représentant qu’est l’agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe).
Les éoliennes font-elles drastiquement chuter le prix de l’immobilier ? Sur ce sujet, il n’existe qu’une seule étude en France, dite “de référence” : celle réalisée par l’Ademe, publiée en 2022.