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Cyber-watergate made in Clinxon - pardon, Clinton
La Lettre confidentielle

Cyber-watergate made in Clinxon - pardon, Clinton

Hillary Clinton risque bien de finir devant un juge. Le procureur spécial Durham vient d'introduire un réquisitoire qui accuse sa campagne d'avoir payé des cyber-barbouzes pour espionner Trump.

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Pascal Clérotte
févr. 13, 2022
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Cyber-watergate made in Clinxon - pardon, Clinton
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Extrait du réquisitoire du procureur spécial Durham, lien plus bas.

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Ne cherchez pas cela dans la grande presse américaine ou européenne. Elle occulte totalement le sujet, tout comme elle a censuré avec la complicité des GAFAM l’enquête du New York Post sur l’ordinateur de Hunter Biden - le fils de l’actuel président des Etats-Unis - qui a mis en lumière 6 semaines avant l’élection la corruption de la famille Biden et ses bien curieuses pratiques de prête-nom dans un investissement en Chine.

Le procureur spécial Durham enquête sur les infractions commises en 2016 par la campagne de Hillary Clinton afin de fabriquer de toutes pièces le “Russiagate”, qui donna lieu à l’enquête d’un autre procureur spécial et ancien directeur du FBI, Robert Muller, qui fit chou blanc. Durham vient de déposer un réquisitoire qui renvoie l’un des avocats de la campagne de Hillary Clinton devant un tribunal fédéral.

Kevin Clinesmith, un avocat du FBI, a déjà plaidé coupable d’avoir falsifié une série d’e-mails afin d’obtenir un mandat de mise sous surveillance au titre de la loi sur le contre-espionnage (Foreign Intelligence Surveillance Act) de Carter Page, le conseiller pour la politique extérieure de Donald Trump durant sa campagne de 2016.

Il est aujourd’hui établi que le dossier Steele (Kompromat, prostituées et “golden shower” au Ritz Carlton de Moscou) ainsi que les “livres blancs” supposés établir les liens de Trump avec la banque russe Alpha Bank, sont des faux, une manipulation financée par l’organisation de campagne de Hillary Clinton.

Pire, dans son réquisitoire, le procureur spécial Durham affirme que la campagne de Clinton a payé des cyberbarbouzes pour accéder à des serveurs non-publics contenant des données privées pour les remettre à une université (Georgia Tech) bénéficiant d’un contrat fédéral du Pentagone (recherche sur la cybersécurité) afin d’en dégager un récit, un “narratif”, reliant Trump à la Russie, indiquant une collusion avec le Kremlin.

Pour couronner le tout, Jake Sullivan, le cadre de la campagne Clinton mentionné dans le réquisitoire de Robert Durham, est aujourd’hui le conseiller à la sécurité nationale de Biden. Sa mise en examen serait imminente.

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