[ Flash ] Arme fumante
On dispose du "smoking gun" dans le plus grand scandale politique de l'histoire des USA, le Russiagate.
Ne cherchez pas dans la grande presse française, elle est d’une pudeur de violette, vous n’y trouverez rien. Forcément, cette affaire va dynamiter le narratif obsessionnel de l’UE, de l’Otan et de la plupart des dirigeants européens. Vous savez, “C’est les Russes”…
C'est les Russes !
Si on en croit la grande presse, les chars numériques russes sont déjà dans Paris ! Leur canons sont braqués sur Notre Dame et Brigitte Macron, afin d’influencer l’élection présidentielle de 2027 ! Tenez, comme ce devait être le cas lors des élections européennes
Tulsi Gabbard, directrice nationale du renseignement des États-Unis, a déclassifié plus de 140 pages qui confirment, au-delà de tout doute raisonnable, que la manipulation du Russiagate, concernant l'ingérence russe dans l'élection présidentielle de 2016, trouve son origine au plus haut sommet de l'État américain. Cette affaire est plus importante que le Watergate, l'Iran-Contra, le Chinagate, les armes de destruction massive de Saddam Hussein et l'affaire Epstein réunies.
Tulsi Gabbard va jusqu'à qualifier de « conspiration séditieuse » les agissements révélés dans ces documents, qu'elle a transmis au ministère de la Justice pour action. Cela pourrait logiquement entraîner l'ouverture d'enquêtes criminelles visant les participants à une réunion restreinte du Conseil de sécurité nationale, présidée par Barack Obama le 9 décembre 2016. Lors de cette réunion, Obama aurait ordonné à la communauté du renseignement de réécrire son évaluation pour affirmer l'existence d'une ingérence russe dans l'élection présidentielle de 2016, contredisant ainsi des mois d'analyses antérieures qui concluaient à l'absence d'une telle ingérence.