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[ Transition de genre ] Les autorités sanitaires sous influence?

La Haute autorité de santé refuse de dévoiler le nom des experts travaillant sur les recommandations médicales pour la prise en charge des personnes transgenres. En France, il n'y a aucun cadre légal.

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Patricia Cerinsek
mars 21, 2024
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Image extraite du documentaire Petite fille de Sébastien Lifshitz.

Les conditions dans lesquelles sont édictées les réglementations médicales pour la prise en charge des personnes trans continuent de baigner dans la plus grande opacité.

Saisie par le ministère de la Santé, la Haute autorité de santé (HAS) doit élaborer les premières recommandations sur le parcours de transition des personnes en questionnement sur leur identité de genre ou transgenres. Objectif : améliorer leur accompagnement et leur prise en charge.

Pour cela, elle fait appel à un comité d’experts. Quels experts ? Officiellement, on n’en saura rien. A plusieurs reprise, la HAS a refusé de dévoiler leurs noms, au motif que ces experts ne “doivent être sujets à aucune forme de pression durant l’élaboration des travaux”.

Et tant pis si la Commission d’accès aux documents administratifs (Cada) pense le contraire, enjoignant la HAS à plus de transparence. Et donc à transmettre les noms à qui en ferait la demande. Tant pis si le tribunal administratif de Montreuil, saisi par l’association Juristes pour l’enfance, enjoint la HAS à communiquer la liste des noms des participants au groupe de travail.

La HAS s’y refuse toujours et a donc décidé pour ce faire de se pourvoir en cassation.

La liste de ces experts n’est pourtant pas tenu complètement secrète. On la trouve assez facilement en allant sur le site du ministère de la Santé, à la consultation des déclarations publiques d’intérêts du groupe de travail “Parcours de transition des personnes transgenres”.

Le Figaro avait ainsi dévoilé la liste de ces 28 experts en juin dernier, révélant qu’un quart d’entre eux avait déjà, eux-mêmes, effectué une transition de genre. Que six de ces experts étaient des militants au sein d’associations transactivistes. Quand la plupart des autres membres étaient des professionnels de santé ayant pris publiquement position en faveur des revendications portées par les associations transactivistes. Question objectivité et surtout équilibre du panel, on peut faire mieux.

“Seule une des expertes, qui a depuis démissionné en jugeant que la composition de ce groupe était trop partiale, appartenait à un mouvement opposé aux revendications des principales associations transactivistes, le collectif Ypomoni”, soulignait Le Figaro.

Les militants et pro-trans n’ont pas seulement infiltré la Haute autorité de santé.

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