Et c'est encore la gauche molle qui est à la manœuvre pour imposer cette censure! Bon, c'est sûr que la position de Macron et de l'E-M de l'UE sur l'Ukraine (par exemple) devient indéfendable. Comme par définition nos crânes d’œuf ont toujours raison, il faut bien interdire les médias (Russes?) qui, par leurs nouvelles, annoncent la défaite prochaine de l'Ukraine, de l'U-E et de l'OTAN face à l'armée russe sinon, on verrait qu'ils se sont trompés. Ce qui pourrait gêner la réélection d'un Macron bis au prochain rendez-vous. Pourtant, tout a été minutieusement réglé avec le seul candidat dangereux (Le Pen), comme (un peu) ce qui s'est passé avec Fillon!
Comme je l'écrivais nous sombrons dans une URSS: même les voyages en Russie sont maintenant interdits! En effet, il ne faudrait pas que des Européens se rendent compte de l'état réel de la Russie, en le comparant au nôtre, ils risqueraient de pleurer. Si personne ne bronche, le système finira par être tellement verrouillé qu'on ne pourra plus en sortir.
En France, on a la double peine : un pouvoir aux abois et une presse dont le servilité n'est une fois de plus pas à démontrer. L'absence de contre-pouvoirs est très inquiétant dans une démocratie...
Et c'est encore la gauche molle qui est à la manœuvre pour imposer cette censure! Bon, c'est sûr que la position de Macron et de l'E-M de l'UE sur l'Ukraine (par exemple) devient indéfendable. Comme par définition nos crânes d’œuf ont toujours raison, il faut bien interdire les médias (Russes?) qui, par leurs nouvelles, annoncent la défaite prochaine de l'Ukraine, de l'U-E et de l'OTAN face à l'armée russe sinon, on verrait qu'ils se sont trompés. Ce qui pourrait gêner la réélection d'un Macron bis au prochain rendez-vous. Pourtant, tout a été minutieusement réglé avec le seul candidat dangereux (Le Pen), comme (un peu) ce qui s'est passé avec Fillon!
Comme je l'écrivais nous sombrons dans une URSS: même les voyages en Russie sont maintenant interdits! En effet, il ne faudrait pas que des Européens se rendent compte de l'état réel de la Russie, en le comparant au nôtre, ils risqueraient de pleurer. Si personne ne bronche, le système finira par être tellement verrouillé qu'on ne pourra plus en sortir.
En France, on a la double peine : un pouvoir aux abois et une presse dont le servilité n'est une fois de plus pas à démontrer. L'absence de contre-pouvoirs est très inquiétant dans une démocratie...