[ Flash ] Le cadeau de Noël de Washington
Le Département d'Etat vient de sanctionner cinq individus en Europe, dont Thierry Breton, qui trempent tous dans le complexe industriel de censure.
Plus de sandwich Rueben chez Katz’s à New York pour Thierry Breton !
Nous le répétons: le complexe industriel de censure tel qu’il existe aujourd’hui en Europe a été établi à la demande de l’administration Obama à partir de 2015 dans le cadre des négociations du EU-US Privacy Shield1 puis de l’administration Biden à partir de 2020. Le DSA est parfaitement inutile pour nous Européens, qui disposons depuis la directive commerce électronique de 2000 (et la France la LCEN de 2004 qui en est la transposition) des moyens d’exiger la suppression des contenus manifestement illicites, la justice étant l’ultime arbitre.
Petit manuel de survie au Digital Service Act
Petit manuel de survie au Digital Service Act (DSA), le règlement européen sur les services numériques, à l’attention des teigneux comme des geignards, afin que les teigneux mordent plus fort et que les geignards n’aient plus de raisons de geindre.
Le principe du complexe industriel de censure, qui autorise l’Etat à réprimer la liberté d’expression et les discours qui lui déplaisent par le truchement d’ONG financées par lui, a été inventé avec la loi Pleven de 1972 par la gauche française et deux ONG, la Licra et le Mrap, comme nous l’avons montré dans les Twitter Files France.
Le DSA a été conçu pour sous-traiter à l’UE la censure du public américain qui ne peut pas être effectuée sur le territoire américain, Premier amendement oblige.
C’est donc aux “ONG” que s’attaque l’administration Trump en publiant une première liste de cinq personnes, qui n’ont plus de droit d’entrer sur le territoire américain.
Thierry Breton (français), ancien commissaire européen
Imran Ahmed (britannique), le patron du Center for Countering Digital Hate
Clare Melford (britannique), qui dirige le Global Disinformation Index
Anna-Lena von Hodenberg (allemande), de l’ONG HateAid qui est un tiers de confiance en Allemagne anti “extrême-droite”
Josephine Ballon (allemande), la cofondatrice de HateAid
Le message envoyé par Washington est clair. il s’agit là d’un coup de semonce, pour l’instant ne visant pas des officiels européens et britanniques. Mais le département d’Etat se tient prêt à étendre la liste si les choses ne changent pas rapidement.
Thierry Breton a personnellement interféré dans la campagne présidentielle américaine de 2024 en usant de la menace de sanctions fondées sur le DSA, dans une lettre qu’il a rendue publique. De tels agissements sont passibles de poursuites pénales aux USA. En France aussi.
La question se pose de savoir pourquoi Thierry Breton, commissaire européen au marché intérieur, rencontrait de manière très régulière - environ tous les deux mois - Anne Neuberger, alors conseillère adjointe à la sécurité nationale de Joe Biden, qui fut aussi la directrice adjointe de la NSA sous l’administration Obama.
Accord portant sur le transfert des données personnelles des Européens aux USA, remplaçant Safe Harbour, annulé en 2014 par la CJUE pour cause de protections insuffisantes. Le Privacy Shield a lui-même été annulé par la CJUE en juillet 2024 pour les mêmes raisons.









'L'ennemi n'est ni la Russie ni la Chine, mais L'Europe!'
JW Vance.
'La Police de la Pensée et les Coupeurs de Langues,'
Alexandre del Valle,
sont hélas en patrouille et les PHOTOS et adresses de ces VILS CRÉTINS et ceux qui les financent👀🕵️ doivent être connus par tous les européens et américains pour qu'ils soient châtiés et être obligés de démissionner de leurs tristes fonctions👹👿:((
https://www.youtube.com/watch?v=gHZJsMfukQY&t=4s