Dans une lettre ouverte adressée à Emmanuel Macron, Bernard Accoyer, le président de PNC-France, alerte sur le risque que font peser les choix énergétiques de l'exécutif. En plein black-out espagnol.
Franchement, il faut être sérieux là! Il n'y a pas de nucléaire en Espagne et au Portugal et les centrales thermiques sont pilotables. La panne n'a donc rien à voir avec les "renouvelables" dont l'hydraulique fait partie (soit dit en passant est pour la petite et micro hydraulique très largement subventionnée pour une participation ridicule au productible). Pour précision le nucléaire a un énorme inertie, on arrête pas un réacteur sur un claquement de doigts et la majorité de la grande hydraulique est au fil de l'eau et non pilotable.
Petite précision, Bernard Accoyer est un Oto-Rhino de province pas un ponte de la physique et des réseaux électriques. Il n'a jamais été ministre. Cherchez pourquoi ?
Il y a eu de multiples études sur les mix énergétiques avec entre 3 et 4 scénarios et ce ne sont pas les fossiles vivants de l'académie qui feront mieux! Il faut aussi réviser les coûts d eproduction qui désormais sont largement ne faveur des renouvelables même si le nucléaire garde l'avantage d'une production massive pour une occupation d'espace faible mais avec les risques que l'on connait et un approvisionnement en combustible entièrement dépendant de pays d'une extraordinaire fiabilité comme le Khazakstan, l'Australie ou le Niger (tiens ils nous ont viré!).
Se rappeler aussi des propos d'André Merlin, l'ancien président de RTE, qui alertait sur les risques de black-out.
Sinon, pour plus d'explications techniques, voir nos articles qui ont suivi celui-ci.
Pour ce qui est des coûts, ils sont certes massifs (sans parler des délais de mise en œuvre) pour le nucléaire mais comment boucler l'équation à ce jour quand les ENRi ne sont tout simplement pas stockées et pas stockables en l'état actuel des avancées techniques... Pour ce qui est de l'uranium, penchez-vous sur le rôle des fondations allemandes, affilées à certains partis politiques outre-Rhin...
Franchement, il faut être sérieux là! Il n'y a pas de nucléaire en Espagne et au Portugal et les centrales thermiques sont pilotables. La panne n'a donc rien à voir avec les "renouvelables" dont l'hydraulique fait partie (soit dit en passant est pour la petite et micro hydraulique très largement subventionnée pour une participation ridicule au productible). Pour précision le nucléaire a un énorme inertie, on arrête pas un réacteur sur un claquement de doigts et la majorité de la grande hydraulique est au fil de l'eau et non pilotable.
Petite précision, Bernard Accoyer est un Oto-Rhino de province pas un ponte de la physique et des réseaux électriques. Il n'a jamais été ministre. Cherchez pourquoi ?
Il y a eu de multiples études sur les mix énergétiques avec entre 3 et 4 scénarios et ce ne sont pas les fossiles vivants de l'académie qui feront mieux! Il faut aussi réviser les coûts d eproduction qui désormais sont largement ne faveur des renouvelables même si le nucléaire garde l'avantage d'une production massive pour une occupation d'espace faible mais avec les risques que l'on connait et un approvisionnement en combustible entièrement dépendant de pays d'une extraordinaire fiabilité comme le Khazakstan, l'Australie ou le Niger (tiens ils nous ont viré!).
Lisez ce qu'en dit le réseau européen des gestionnaires de réseaux électriques en 2017 (https://eepublicdownloads.entsoe.eu/clean-documents/Publications/SOC/High_Penetration_of_Power_Electronic_Interfaced_Power_Sources_and_the_Potential_Contribution_of_Grid_Forming_Converters.pdf) ou cette étude, en Espagne justement : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0306261922000460?utm_source=chatgpt.com
Se rappeler aussi des propos d'André Merlin, l'ancien président de RTE, qui alertait sur les risques de black-out.
Sinon, pour plus d'explications techniques, voir nos articles qui ont suivi celui-ci.
Pour ce qui est des coûts, ils sont certes massifs (sans parler des délais de mise en œuvre) pour le nucléaire mais comment boucler l'équation à ce jour quand les ENRi ne sont tout simplement pas stockées et pas stockables en l'état actuel des avancées techniques... Pour ce qui est de l'uranium, penchez-vous sur le rôle des fondations allemandes, affilées à certains partis politiques outre-Rhin...
Ben dites donc, vous êtes énervé là! :D
Je ne relèverais pas le conflit haut-savoyard, re :D
Il n'empêche que l'inertie des turbines, que vous le vouliez ou pas, est le facteur le plus important d'équilibrage des réseaux éclectiques.
Quand Michael Shellengerner, un grosse floppée d'experts le disent, c'est pas du flan.
Nous français avons du redémarer à nos frais des turbines de nos centrales nucléaires pour permettre aux espagnols de procéder à un "black start".
Sans dénigrer les ENRi, il importe cela dit de ne pas confondre idéologie et 200v/60hz.