[ Le coup de projecteur de L'Eclaireur ] CORRVPTIO EVROPAE

Mise à jour le 15 décembre 2022.

C’est toujours bon d’avoir raison. La police et le parquet fédéral belge n’y sont pour rien. Les “services” et la justice belge ne savent pas ce qu’est qu’une opération anti-ingérence et le parquet fédéral belge n’a jamais bougé dans une affaire de criminalité en col blanc sans qu’un autre pays lui mette un flingue sur la tempe…

La question est de savoir pourquoi les activités de corruption d’autres pays - Arabie Saoudite, Turquie, Azerbaïdjan, USA etc. - ne sont pas réprimées et pourquoi si peu de parlementaires, dans l’absolu, sont mis en cause. Même chose pour les multinationales.

Georges Malbrunot @Malbrunot

Qatargate: les services de renseignements belges ont communiqué des infos à la Justice pour que l'affaire éclate. 5 autres services européens ont aidé pour cartographier les réseaux pro-Qatar. Tâche relativement peu ardue, comme ns le disions précédemment.

lefigaro.frÀ Bruxelles, les services de renseignement ont enquêté sur le «Qatargate»DÉCRYPTAGE - Depuis l’arrestation de son ex vice-présidente Eva Kaili lors d’une opération anticorruption en lien avec le Qatar, un climat de suspicion généralisée s’est abattu sur le Parlement européen.

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Anticor @anticor_org

Le #Qatargate s’annonce comme l’un des plus grands scandales de #corruption de l’Union 🇪🇺. La police continue d’enquêter sur les accusations selon lesquelles des personnalités travaillant pour le 🇶🇦 auraient versé des pots-de-vin à des responsables 🇪🇺. euractiv.fr/section/instit…

euractiv.fr« Qatargate » : les eurodéputés demandent une enquête et suspendent toute collaboration avec le QatarLe Parlement a suspendu toute collaboration avec le Qatar alors que les eurodéputés ont demandé la création d’un organe d’éthique indépendant et une enquête sur le scandale de corruption qui secoue l’UE.

Le Parlement européen est à la démocratie et à la probité ce que le CBD est au crack. Anticor n’a visiblement pas idée de la nature et l’échelle de la corruption de l’ensemble des institutions européennes. Cette sombre affaire de 600 000 euros en liquide présumés versés par le Qatar pour influer sur des décisions européennes n’est que de l’écume, qu’un épiphénomène.