Passons les cris d’orfraies de petits bourgeois jouant aux révolutionnaires et d’universitaires médiocres jouant aux gourous. Concentrons nous sur les choses sérieuses.
Il y a un moyen simple de couper court aux faux débats concernant WokePo Grenoble, outre limoger la direction (et celle de l’UGA aussi tant qu’on y est): l’application de la loi.
“Le fait d'entraver, d'une manière concertée et à l'aide de menaces, l'exercice de la fonction d'enseignant est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende.
Le fait d'entraver, d'une manière concertée et à l'aide de coups, violences, voies de fait, destructions ou dégradations au sens du présent code, l'exercice d'une des libertés visées aux alinéas précédents est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende.”
Article 431-1 du code pénal, à appliquer aux étudiants et au corps professoral de Science Po Grenoble.
Enquête préliminaire. Ordonnance d’un Juge de la détention et des libertés pour une perquisition du serveur e-mail de l’IEP Grenoble, boîtes des étudiants comme des enseignants. Il s’agit de moyens publics. La vérité fera jour rapidement.
Si c’est Elon Musk qui le dit…
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